Un réseau Wimax à Rouen pour gérer les feux tricolores
La ville de Rouen déploie, avec l’opérateur Altitude Telecom et Vinci Energie, un réseau sans fil haut sur l’ensemble de son territoire basé sur la technologie Wimax. A partir de septembre 2007, les premières bornes Wimax seront installées sur certains lampadaires. Le déploiement sera effectué en plusieurs étapes d’ici la fin 2008, date à laquelle Rouen sera totalement couverte en haut débit sans fil via cette technologie. Parmi les usages prévus, Altitude Telecom cite notamment la gestion à distance des feux tricolores, des panneaux d’affichage public ou certaines caméras de vidéosurveillance. Bien entendu, ce réseau administratif sera sécurisé, assure-t-on chez l’opérateur.
Parallèlement, les Rouannais pourront également se connecter à une partie publique du réseau pour se connecter sans fil à l’internet avec leur PC portable, n’importe où dans la ville. Un service qui sera géré par Altitude Telecom. Enfin, ce réseau devrait permettre de connecter son domicile à internet, en alternative à l’ADSL, en plaçant une antenne sur le toit d’un immeuble. En revanche l’utilisation du réseau pour la mobilité (connexion maintenue lors d’un déplacement) n’est pas prévue
Epône, ville-pilote d’Ile-de-France dans l’expérimentation du WiMax
Epône se met à l’heure des télécommunications. Commune où l’ADSL n’atteint pas les quartiers excentrés, elle devient pourtant, dès aujourd’hui, la première ville en Ile-de-France à expérimenter le réseau Wimax par le biais d’une antenne située dans la zone industrielle. Objectif : compenser les zones dites blanches. C’est-à-dire des zones peu ou pas couvertes par l’ADSL.
Jusqu’à présent, tous les foyers qui ont l’ADSL l’ont grâce à un central téléphonique France Télécoms. Problème : il suffit que votre foyer soit à plus de quatre kilomètres d’une de ces antennes pour que vous ne receviez pas le haut-débit. Ce qui explique que dans certaines villes, certains foyers ont accès au haut-débit et que le foyer situé juste en face dans la même rue ne capte rien du tout. Ce qui avait valu à Gérard Raspaud, « des pétitions pour que tous les habitants y aient accès ».
La société SHD (Société de haut-débit) est la nouvelle société commune de SFR et Neuf Cegetel (en partenariat avec Canal+). Elle vient d’installer une antenne-relais qui va permettre de capter le haut-débit grâce aux ondes hertziennes, donc par voie des airs. Le haut-débit va donc se diffuser sur toute la commune et même aux alentours. En effet, l’Acerp (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes) vient d’attribuer une licence qui donne l’autorisation pour SHD d’exploiter deux régions : la Provence Alpes Côtes d’Azur et l’Ile-de-France.
En région parisienne, l’objectif est de taille : couvrir 306 zones situées dans les quatre départements de la grande couronne autour de Paris : Les Yvelines, l’Essonne, Le Val d’Oise et la Seine-et-Marne d’ici 2013. En attendant, ce sont près de dix sites qui vont être équipés dont deux dans les Yvelines : Trappes et Epône qui devient la ville pilote du projet en Ile-de-France.
Selon Frédéric Laforest, directeur délégué de SHD, ce projet répond à un réel besoin. Il explique que mis à part « Paris et la petite couronne, il reste de nombreuses zones vierges en Ile-de-France. C’est notamment le cas des Yvelines avec un schéma urbain et rural à la fois ». Pascal Pouillet, directeur régional SFR en Ile-de-France, ajoute que cela va de pair avec l’évolution de la société : « Aujourd’hui, les gens travaillent à Paris mais ils sont obligés d’habiter en lointaine banlieue. Ils souhaitent donc avoir accès aux mêmes services Internet au travail et chez eux ».
La technologie Wimax propose un accès haut débit avec une antenne sur le toit et un modem. Mais, il sera aussi possible d’accéder à l’Internet en haut-débit avec son ordinateur de façon nomade grâce au hot spots Wimax. Système qui se met en place grâce à l’implantation d’une carte dans son ordinateur et qui permet de capter le haut-débit partout.
Le problème c’est que les Epônois devront encore attendre avant d’avoir ce fameux haut-débit chez eux. Eh oui. Parce que tout ça c’est un petit peu plus compliqué : SHD met son réseau à disposition de fournisseurs d’accès à Internet. Ce n’est qu’une fois que les fournisseurs auront négocié avec SHD qu’ils pourront, à leur tour, proposer des offres commerciales aux consommateurs, mais pas avant 2008.
Le Loiret couvre les zones blanches en Wimax
Jeudi 4 janvier 2007, le conseil général du Loiret a lancé officiellement son réseau Wimax, sous le haut patronage de Christian Estrosi, ministre délégué à l’aménagement du territoire. L’opérateur Wimax HDRR (détenu majoritairement par TDF) a ainsi construit son premier réseau pour le compte de Medialys, délégataire de service public du conseil général. Motorola apporte ses équipements et son expertise technologique. Ce réseau à la norme 802.16e complète un backbone fibre optique déployé par Medialys sur la région.
Partant de 10 sites (Bazoches Les Gallerandes, Pithiviers le Moulin, Ladon, Montcresson, Courtenay, Gien-Arrablouy, Ouzouer sur Loire, Vienne en Val, Orléans la Source et Huisseau sur Mauves), ce réseau sans fil a pour objectif de desservir les zones blanches, oubliées de l’ADSL et non desservies par la fibre optique. Le débit pratique du Wimax oscille autour de 10 Mbps sur environ 15 km. HDRR intervient en opérateur « Carrier to Carrier », il ne délivrera pas « in fine » de services au public. Par contre, Neuf Cegetel sera le premier FAI national à proposer réellement une offre sur réseau Wimax
Haut débit : la Haute Marne choisit le Wimax
A défaut de câbles et de centraux téléphoniques équipés pour l’ADSL, c’est par les ondes hertziennes que les habitants d’une centaine de communes de la Haute-Marne (52) seront connectés à Internet haut-débit. Le Conseil Général vient d’attribuer sa délégation de service public à HDDR (Haut Débit Radio Régional), une filiale de TDF, Axione, LD Collectivités et Naxos. Doté de 21 emetteurs WiMax le réseau couvrira plus de 80 % des foyers non raccordés à l’ADSL. Bien que la couverture ADSL de la population atteigne 97%, le Conseil Général souhaite mettre en oeuvre des solutions alternatives pour faire disparaître totalement les zones blanches. Près de 3,8 millions d’euros seront investis par HDRR et le département dans le cadre d’une délégation de service public de 5 ans.
Grâce à la décision de l’Assemblée départementale du 20 octobre 2006, une centaine de communes bénéficieront d’une couverture haut débit fonctionnant en WiMAX. Afin de compléter la couverture du territoire haut-marnais, l’équipement des espaces jusqu’alors non desservis par l’ADSL sera privilégié. Avant avril 2008, plus de 80% des foyers haut-marnais en zones blanches (zones non couvertes en ADSL) seront couverts par la technologie WiMAX et 5% en WiFi. Les équipements de réception compatibles Wimax seront subventionnés par le Département (100 euros par abonné).
L’attribution des licences WiMax modifie le paysage de l’internet haut débit
L’internet haut débit sans fil entre dans une nouvelle ère : après le plan pour Paris de Bertrand Delanoë, l’Autorité de régulation des télécoms (ARCEP) a publié le 7 juillet 2006 les résultats de son appel à candidature. Les participants ont été sélectionnés en fonction de la couverture des territoires ne disposant d’aucune offre d’accès Internet haut débit, du développement de la concurrence et du montant de la redevance que le candidat est prêt à payer. Parmi ces candidatures, Bolloré Telecom, Maxtel et HDRR ont remporté la majorité des licences régionales Wimax. Deux licences étaient en jeu par région métropolitaine, ainsi que pour la Guyane et Mayotte. France Télécom, qui était candidat pour toutes les régions, n’a remporté que les licences pour la Guyane et Mayotte.
Bolloré Télécom, consortium qui regroupe Bolloré, Hub Telecom (filiale d’Aéroports de Paris) et le télédiffuseur Antalis, a remporté douze des 49 licences régionales. Le consortium Maxtel, qui regroupe les Autoroutes Paris-Rhin-Rhône et l’opérateur Altitude Telecom, a remporté treize licences régionales. Le consortium HDRR, Haut Débit Radio Régional), qui est constitué de TDF, d’Axione, filiale de Bouygues, LD Collectivités et Naxos, filiale de la RATP, a remporté onze licences régionales.
Six des quatorze conseils régionaux candidats ont également obtenu des licences. En revanche, la SHD (Société du Haut Débit), consortium qui regroupe SFR, Neuf Cegetel et Canal+, n’a obtenu que deux licences, alors qu’elle était candidate dans toutes les régions métropolitaines. Le 7 février dernier, 35 candidats avaient déposé un dossier, dont 14 Conseils Régionaux, 4 regroupements d’acteurs privés et 6 opérateurs sur la métropole. Alors que 67 collectivités locales avaient manifesté leur intérêt en octobre, la majeure partie des Communautés d’agglomération, les communes et les Conseils généraux se sont regroupés avec les 14 Régions candidates.
Le Wimax (Worldwide Interoperability for Microwave Access), qui ne fonctionne qu’en extérieur, est une technologie sans fil utilisant les ondes radio et permettant un accès à l’internet haut débit, de l’ordre de 10 à 20 Mégabits par seconde, sur une zone de couverture de 20 kilomètres environ. Les groupes retenus verseront globalement 125 millions à l’Etat cette année puis une redevance annuelle de 1,6 million. Dans un communiqué, les ministres délégués à l’Industrie, François Loos, et à l’Aménagement du territoire, Christian Estrosi, ont souligné que le WiMax permettrait d’apporter le haut débit aux 2 % à 3 % de foyers non éligibles à l’ADSL dans les mêmes conditions que le reste de la population.
Toutefois, selon l’Arcep, si le WiMax autorise le « double play » associant l’accès à l’internet jusqu’à 20 Mbits et la téléphonie via la voix sur IP (VoIP) sur une zone de 20 kilomètres environ, elle ne permet pas la télévision. Pour des spécialistes du secteur, il s’agit d’un complément. SFR et Neuf Cegetel expliquent dans un communiqué que cela leur permettra de compléter les offres de l’opérateur mobile (3G, 3G+ et WiFi) et les technologies ADSL et WiFi de Neuf Cegetel.
France Télécom s’est dit satisfait de la décision de l’Arcep, assurant que cela se traduira par la couverture générale du territoire sans qu’il soit « obligé d’investir à nouveau et compte-tenu des investissements considérables d’un milliard d’euros réalisés qui ont permis de couvrir 98 % des foyers français en ADSL ». Il a ajouté qu’il aurait « accès au marché de gros à des conditions concurrentielles favorables » pour compléter sa couverture et qu’il continuerait de travailler avec les collectivités territoriales.
L’ART publie un rapport favorable au WiMax
http://www.art-telecom.fr/ http://municipalnet.typepad.com/municipalnet/WiMax/
L’ART a rendu public le 8 mars 2005 un rapport qui intéresse les collectivités souhaitant devenir des opérateurs WiMax. Le WiMax est donc considéré par les pouvoirs publics et par les industriels (Alcatel, Intel, etc.) comme une alternative intéressante à l’Internet filaire (DSL). Il peut aussi compléter avantageusement d’autres solutions d’accès nomade (WiFi, UMTS). Le rapport juridique réalisé pour le compte de l’Autorité de régulation des télécommunications (www.art-telecom.fr) par Daniel LABETOULLE, ex-président de la section contentieux du Conseil d’Etat, indique que les collectivités doivent pouvoir disposer d’autorisations d’utilisation de fréquences (BLR dans la bande 3,4-3,8 GHz).
Par ailleurs, le rapport souligne que c’est à l’ART de définir la zone géographique liée à une autorisation de fréquences. Quant à la sélection (enchères ou autres modes) entre candidatures concurrentes, elle « impose une pluralité de critères ». Positives pour les collectivités locales, les conclusions de ce rapport juridique doivent désormais être prises en compte par le régulateur pour les futures attributions des licences WiMax.
Le Calvados choisit le WiMax pour sa couverture haut débit
http://www.altitudetelecom.fr/communique00010252.asp
Le Calvados a retenu l’opérateur Altitude Telecom pour assurer la couverture de son territoire en WiMax. L’opérateur, qui confirme sa conviction dans le développement de cette technologie, rejoint le Forum WiMax. Altitude Telecom y avait déjà implanté cinq stations de base radio pour couvrir les villes de Lisieux, Bayeux, Caen, Mondeville et Deauville. L’appel d’offres permet d’ajouter 16 nouvelles stations WiMax et un réseau de 126 Km de fibre optique, pour un investissement total de 18M€ sur 5 ans. Comme dans les autres départements déployés en WiMax (la Vendée, l’Orne), les utilisateurs se voient proposer des services haut débit, Internet et données, allant jusqu’à 10 Mbps.
Charente-Maritime : Expérimentation WiMax en Vals de Saintonge
http://www.fing.org/ref/aap_tech/fichier06.ppt http://www.arantis.fr/article.php ?id_article=119
Le Pays des Vals de Saintonge couvre 25 % du nord-est du département de la Charente-Maritime, pour seulement 9 % de sa population (53 000 habitants sur 117 communes). Ce territoire compte d’importantes zones dites blanches, c’est-à-dire ne pouvant pas recevoir les technologies d’accès à internet traditionnelles comme l’ADSL. Le Pays est maître d’ouvrage d’une expérimentation d’un nouveau type de technologie par onde radio (WIMAX) et joue un rôle actif dans sa mise en œuvre. Cette action est reconnue au niveau national par un support de la DATAR dans le cadre de l’appel à projets sur les technologies alternatives d’accès haut débit.
Côtes-d’Armor : expérimentation WIP et WiFi (WiMax) à Val-de-Rance
http://www.francetelecom.com/fr/… http://www.01net.com/article/245087.html http://www.irisa.fr/cdri/Veille/F2004-6-3.htm
Première expérimentation WiMax et WiFi d’une portée de 15 Km sur 30 foyers. Pour l’utilisateur, la solution est transparente. Un abonnement à un fournisseur d’accès est requis, France Télécom ou un autre fournisseur. Sur la zone de couverture, l’internaute accède à un débit de 512 kbits/s, comme annoncé. Grâce à cette solution alternative, une trentaine de personnes volontaires, réparties sur 3 communes proches de Dinan non desservies par l’ADSL (Trélivan, Evran et Plélan le Petit), bénéficient pour la première fois d’une offre internet Haut Débit comparable à un abonnement à 512 kbits/s, quel que soit leur fournisseur d’accès internet initial (FAI). Elles disposent ainsi en toute transparence des usages habituels qui découlent du haut débit au sein d’une zone pourtant non couverte.
Eure : expérimentation de la voix sur WiMax sur l’A 28
http://www.altitudetelecom.fr/presse.asp
Comme le WiFi, le WiMax peut être utilisé pour transporter de la voix. C’est ce que teste Altitude Telecom en Normandie où elle propose les premiers services de téléphonie sur IP par boucle locale radio en technologie WiMax. Le chantier de l’autoroute A28 a été choisi pour ce galop d’essai. Plusieurs centaines d’utilisateurs finals bénéficient déjà de cette technologie et 1500 demandes d’éligibilité ont été reçues en moins de trois mois sur les départements en cours de déploiement.
Altitude Télécom commercialise depuis 2005 auprès des entreprises une offre de téléphonie sur IP sur son réseau avec une qualité de service garantie. Selon l’opérateur, cette offre permet une réduction de 50 % de la facture téléphonique grâce à plusieurs facteurs :
la réduction d’infrastructure, les flux étant centralisés sur un seul lien IP la résiliation de l’abonnement téléphonique historique, devenu inutile grâce au WiMax le coût maîtrisé des minutes de communications, achetées au volume par l’opérateur.
Les particuliers accèdent à une offre de Voix en WiMax
France Télécom teste le WiMax dans l’Hérault
http://www.generation-nt.com/actualites/8205/… http://www.hautlanguedoc.fr/ccmhl.asp ?idpage=508
France Télécom a choisi La Salvetat-Sur-Agout, dans le Haut-Languedoc, pour tester le Wimax, la technologie hertzienne permettant une transmission à haut débit sans fil. Quatre antennes Wimax ont été déployées sur l’ensemble de la commune. Le réseau hertzien raccordé au réseau filaire offre la diffusion d’une bande passante de 6 Mbit/s, la portée étant de 15 kilomètres. Le coût de l’opération a été chiffré à environ 200.000 euros. Les premiers résultats obtenus permettent à France Telecom d’affirmer qu’il est prêt à lancer la technologie au plan national.
Loiret : France Telecom teste le WiMax dans la zone d’activité d’Amilly
http://www.francetelecom.com/fr/…
France Telecom teste le WiMax dans la zone d’activité d’Amilly dans le Loiret pour la desserte du haut débit auprès d’une dizaine de PME, cette zone étant de desserte difficile par l’ADSL. Une station installée sur un point haut de la zone industrielle d’Amilly permet de desservir une dizaine de récepteurs d’entreprises situés dans un rayon d’un kilomètre. Ces dernières bénéficient ainsi d’un accès compris entre 1 et 4 Mbits/s. Les avantages de ce type de réseau sont nombreux selon France Telecom : déploiement rapide, bonne qualité du service, allocation dynamique en fonction des besoins, absence de relais de transmission…
Maine-et-Loire : le projet Mélis@,
Mélis@ est une infrastructure passive de télécommunication implantée sur l’ensemble du territoire départemental. Elle s’étend sur 680 km dont 600 km de fibres optiques tout en mutualisant l’ensemble des ressources alternatives déjà disponibles : boucle optique angevine-BOA-, réseau de transport d’électricité-RTE-, réseaux fibres optiques des autoroutes. Le complément est constitué de réseaux hertziens. Cette infrastructure dessert 57 sites urbains et plus de 80 zones d’activités. L’infrastructure Mélis@ est présente dans l’ensemble du département. Sa présence dans les zones d’activités permet aux opérateurs télécoms de proposer des services autres que l’ADSL, dont le débit est bien souvent insuffisant pour les entreprises. Le projet Mélis@ rend possible aux sociétés présentes leur raccordement par fibres optiques, dont les capacités sont bien meilleures comparativement aux fils de cuivre.
Réseau haut débit WiMax (Orne)
http://www.altitudetelecom.fr/default.asp ?id=134&mnu=134
Le département de l’Orne est couvert à 90 % par la technologie sans fil WiMax (World Interoperability for Microwave Access). Suite à un appel d’offres lancé par le Conseil général ornais, l’opérateur Altitude Telecom s’est en effet vu attribuer la fourniture d’un service de télécommunication haut débit pour l’ensemble du territoire. Le lot en question représente un montant de 9,5 millions d’euros sur 7 ans. Cette couverture WiMax repose sur plusieurs dizaines de stations de base sur des points haut équipés d’antennes qui diffusent dans un rayon de 20 kilomètres, avec un débit de 10 mégabits/s symétrique.
Bas Rhin : mise en place d’une couverture haut débit radio par Wimax
Truchtersheim dans le Bas Rhin expérimente le WiMax
http://blog.netpartoo.com/index.php ?Wimax
Depuis juillet 2005, la commune de Truchtersheim située près de Strasbourg, expérimente, en partenariat avec Arteria, filiale télécoms du Réseau de Transport d’Electricité (RTE). un réseau WiMax. Un pylône électrique de 225 000 volts du Réseau de Transport Electrique (RTE) amène le haut débit par de la fibre optique et accueille les antennes WiMAX pour dispatcher l’accès sur plusieurs kilomètres. La maîtrise d’oeuvre est assurée par @rteria (RTE), Altitude Telecom et Electricité de Strasbourg
L’originalité de l’expérimentation de Truchtersheim est d’utiliser les infrastructures existantes de RTE.En effet, il est possible de rajouter de la fibre optique le long des lignes électriques pour amener du haut débit sans avoir à creuser la voie publique. Cette expérience soutenue par l’Etat, dans le cadre de l’appel à projets « Technologies alternatives d’accès à Internet haut débit » de la DATAR (financement de 150 000 € par ce dernier), permettra à 10 utilisateurs (particuliers, entreprises, administrations) de tester les services disponibles sur le réseau (accès à Internet et téléphonie). Par contre, le communiqué de presse indique proposer la télévision, mais c’est peu probable sur un réseau WiMAX Les abonnés situés dans un rayon de 20Km environ, bénéficient d’un débit symétrique de 2 Mb/s et des services haut débit y compris téléphonie sur IP. Plusieurs PME et une dizaine de particuliers, une école, une bibliothèque et l’Hôtel de ville expérimentent
Le département de la Somme passe au WiMax
En vue de réduire la fracture numérique qui sépare le monde rural des agglomérations, l’agence SUSI (Somme d’USages Internet) et Intel se sont associés pour développer la technologie WiMax sur le territoire d’Amiens et de son agglomération. Cet accord de coopération a été signé avec le soutien de Monsieur Gilles de Robien, en tant que président d’Amiens Métropole. Intel fournit à l’agence SUSI les informations relatives à ses technologies et architectures (portables, poste de travail, serveurs, réseaux…) mais aussi à ses recherches dans le but de faciliter l’implantation de l’infrastructure technique et le déploiement du WiMax sur le territoire de la Somme. Les modems WiMax nécessitent l’installation d’une antenne extérieure, les modems intérieurs apparaîtront dans le courant de l’année 2006.
L’Expérimentation Z@NE (Zone d’activités Numérique et Economique) doit permettre de concrétiser les rôles de chaque acteur public dans ses missions de développement économique. Cette expérimentation a comme objectif de définir les modalités économiques, juridiques et techniques pour le raccordement des entreprises dans les zones d’activités du département de la Somme.
Expérimentation WiMax dans le Tarn
La station de base WiMax, déployée sur un « point haut » existant (pylône DDE) sur la commune de Gaillac et desservant les 6 sites du Pays, est reliée au réseau de télécommunications fibres optiques d’e-téra. Cette infrastructure sillonne le département du Tarn et s’interconnecte aux réseaux nationaux et internationaux de télécommunications. Cette opération conforte ainsi la démarche d’e-téra visant à utiliser de manière complémentaire les technologies existantes en faveur de la desserte toujours plus large des territoires. « Cette expérimentation s’inscrit dans la continuité de notre démarche volontariste, et progressive, en matière de déploiement et de gestion de réseaux à très haut-débit pour aller toujours plus loin dans la desserte en haut-débit de nos territoires, en direction des zones rurales », précise Thierry Carcenac, Président d’e-téra et Président du Conseil général du Tarn.
La Vendée en pointe dans l’utilisation du WiMax
http://www.altitudetelecom.fr/communique0001048e.asp http://www.vendee.fr/actualites/art_show.asp ?art_id=733
Depuis juillet 2005, la Vendée est couverte en service WiMax sur la totalité de son territoire. La Vendée devient ainsi le premier département français, hors région parisienne, à proposer une couverture haut débit, par ADSL ou WiMax, sur l’ensemble de son territoire. La Vendée a initié en septembre 2003 un plan départemental reposant sur les procédures d’appel d’offres sur performance. Trois prestataires, LDOMC, France Telecom et Altitude Telecom, se partagent le marché pour couvrir les 282 communes vendéennes. Le lot le plus important a été attribué à Altitude Telecom pour la mise en oeuvre de 20 stations WiMax.
Le Département a souhaité privilégier le WiMax car cette solution technique est bien adaptée à l’habitat dispersé. En outre, le WiMax est une technologie évolutive tant en termes de débit et de mobilité. La Vendée a alloué au total 12 millions d’euros à son plan de désenclavement numérique qui s’articule autour de trois volets : le WiMax avec Altitude Telecom, l’ADSL avec France Telecom et la dorsale en fibre optique avec Neuf Telecom. L’offre WiMax coûte 39 € par mois pour les particuliers. Ils bénéficient d’une connexion à un Mbit/s. Une offre « double play » comprenant Internet et un service téléphonique IP est également proposée au prix de 45 €.
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